Retour du Salon de Ville-Marie

Retour du Salon du livre de l'Abitibi-Témiscamingue.

Premier constat: moins de signatures que l'an dernier, mais j'ai eu du plaisir comme jamais!

J'avais décidé de louer un chalet au mois de mars, que je sois invité ou pas. Plaisir.

Vendredi: arrivé à l'aréna, je n'ai même pas le temps de me rendre au kiosque d'accueil, qu'une journaliste m'arrête pour une courte entrevue. Celle-ci à peine terminée, on m'indique que mon éditrice, aussi directrice du Salon, veut me remettre ma pochette en main propre. Finalement, c'est Valérie, des Z'ailées, qui s'exécute.

J'arrive sur le plateau. Une prénommée Mylène m'aborde, tandis que je vois un certain Jonathan du coin de l'oeil qui se dirige vers moi. La première m'avise que j'ai une entrevue de prévue (que je viens de donner) et j'ai à peine le temps de serrer la main du second. Je suis en signatures...

Pas une seule en deux heures, mais beaucoup de jasettes. Puis, à 20 heures, Quizz des auteurs en équipe de deux. Nous avons droit de choisir une personne du public pour nous assister. Daniel Laverdure choisit Albert Millaire.  Je choisis Ginette Cournoyer, présidente de la Corporation du Salon du livre. Laverdure est en grande forme (fait rire tout le monde) mais de notre côté, on ne laisse pas notre place pour les bonnes réponses. Victoire en fin de match!


Samedi, mes activités commencent par une réunion du Cercle des écrivains de l'Abitibi-Témiscamingue. J'en ressors avec le titre de vice-président!

Début d'après-midi, c'est la remise du Prix littéraire jeunesse Télé-Québec. Je suis président du comité depuis mars dernier. La volubile Lucille Bisson faisait partie du jury qui a remis la palme à Hemmy Côté, de Trécesson.


Je retourne en signature. Nouvelle salutation lointaine à Jonathan.

Après le souper, de nouveau au kiosque des Z'ailées. C'est tranquille. Mon voisin de table est... Jonathan Reynolds! Enfin, on peut se parler. Plaisir assuré de rencontrer -enfin- un collègue blogueur de ma liste virtuelle. Beaux échanges et complicité immédiate. J'en reprendrais demain matin! (surtout que Jonathan était mon correcteur d'Opération pieuvre).

Pour être certain de vous convaincre que le castor est bien réel, Valérie Perreault, ma voisine d'en face, nous a photographiés. Au diable la qualité, je voulais une preuve!

Jonathan avec ma moufette, baptisée Joséphine par Valérie Perreault
 
Je joue au visiteur, quelques achats, je me fais signer un Sénécal, pas capable de dire autre chose que des banalités, comme lorsque j'allais voir des bédéistes à Montréal quand j'étais petit...

La soirée s'est terminée par un «Speed interviewing» avec Nadine Descheneau et Robert Lalonde. Encore une fois, un très bon moment!

Je suis allé saluer mes éditrices dimanche matin, au déjeuner. Elles m'ont laissé en me disant: «Vas-y, va écrire!»

C'est ti pas un beau salon? J'ai écrit il n'y a pas si longtemps que lorsque j'arrivais le vendredi, j'avais l'impression de faire partie du grand club et que le dimanche, j'éprouvais une certaine déprime. J'ai trouvé le truc. Y aller que deux jours!

 Ah, j'oubliais, mercredi soir dernier, j'étais à Montréal au Café Campus, pour la demi-finale du Concours de la relève de l'humour.
Mais ça n'a rien à voir avec l'écriture, ça...

Je me sens un peu show-off, mais mes derniers billets étaient un peu drabes. Je suis gonflé à bloc! (Merci Jo...)

4 commentaires:

ClaudeL a dit…

Bravo pour ta vice-présidence.
Et bravo pour la non-déprime.

Gen a dit…

Hé, c'est le fun de voir le Castor en forme de même! :)

Mais c'est pas Jonathan sur la photo! Jonathan, il est vert fluo! ;)

François Bélisle a dit…

@ClaudeL: l'an prochain, après Jonathan, c'est votre tour!

@Gen: oui oui! T-Shirt au lavage, probablement! (Je n'ai pas oublié le prix, cause de procastination!)

Gen a dit…

@François : Pas de problème pour le prix : si je rajoute un livre sur la pile des "à lire", le plancher ne le supportera pas!!!