Les deux côtés de la Force

Le petit hamster qui me sert de cervelle réfléchit beaucoup sur l’écriture.
Puis, à la lumière du billet de Dominic Bellavance, je me sens moins comme Gilligan.
Et j’ai un billet tout écrit là-dessus dans ma tête. Mais il est un brin du côté obscur de la Force. Et il l’est peut-être en partie par ma propre faute, mais pas seulement.
Il y a aussi le côté clair de cette même Force. Lumineux, même. Et aujourd’hui, j’y suis. Et je vais surfer dessus un brin.
Ce soir, dans le cadre de la semaine de sensibilisation pour l’élimination de la discrimination raciale menée par le Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or, il y aura le lancement de Kinawit, un récit qui relate les 35 ans d’histoire du Centre. Un travail débuté en 2008 et qui, enfin, voit le jour.
Je suis très nerveux. Parce que je m’y suis investi comme je ne l’ai jamais fait dans un projet. Parce qu’il a fait appel au journaliste-auteur et à l’auteur-journaliste.
J’ai été invité à y participer en partie parce que je suis un auteur et que j’ai quelques réalisations en arrière de la cravate. Comme beaucoup d’autres, publier était un rêve, devenu réalité. Mais cette réalité me titille un peu.
Alors, ce soir, pendant que je serai physiquement au Centre d’amitié, vous pourrez lire la préface ici.
À bientôt!

1 commentaire:

Sylvie a dit…

Allez, va inonder l'endroit de ta lumière et profite du moment. Bravo.