De l’importance des ouvrages collectifs

Aujourd’hui, je voudrais vous entretenir du plus important ouvrage collectif et de son influence : la Bible. Tout le monde sait qu’elle se partage principalement en deux volets, l’Ancien et le Nouveau Testament.

Dans le nouveau, nous avons tout d’abord cette simplicité d’identification des personnages. Seulement des prénoms courts, pas de noms de famille. Il s’agit aussi d’un bel exemple d’un même événement couvert sous plusieurs points de vue.

Nous savons tous comment ça finit depuis plus de 2000 ans, mais elle a encore ce pouvoir accrocheur. Tout comme l’Ancien, dont nous parlerons demain, a été générateur de bien des imaginations avec le seul chiffre de la Bête.

Pour revenir au Nouveau, il y a bien eu plusieurs tentatives de battre sa popularité. Je pense ici à Charles Dickens et son Christmas Carol. Mais la pitié et l’avarice ne battent pas l’hémoglobine émanant de notre ami à tous, Jésus.

Bon… OK. Ça paraît-tu que je ne savais pas trop comment revenir vous voir. Même si je ne suis pas parti longtemps.

Les plombs ont juste pété. Solide. Plus fort que je ne le pensais. Je ne reviens pas sur l’histoire.

J’ai juste compris ben des affaires. Quand tu es à fleur de peau, tu gardes ta vie simple et tu ne t’embarques pas dans des affaires compliquées.

Quand tu conduis un blogue, tu surveilles tes angles morts. Quand tu écris un blogue, ben c’est aussi la vraie vie.

Vraiment désolé pour tout ce brouhaha... J'aime mieux rire que pleurer.

Un gros clin d’œil à «la garde rapprochée». Merci à Karuna qui m’a allumé certaines lumières hors d’ici.

J’ai décidé de revenir hier soir après avoir lu le commentaire de CJ chez l’ermite.

Colombe… Je trouvais le prénom de circonstance.

Sauf que j’avais vraiment flushé mon blogue… C'est-à-dire que dans la colère, j’ai d’abord supprimé tous mes billets, puis l'ensemble de la mise en page. Ne restait que le squelette.

Alors tant qu’à revenir, j’ai tout refait. Me suis couché plus tard, mais pas d’importance. Finalement, j’ai compris que j’avais plus à perdre de m’en aller d’ici, de ce bel ouvrage collectif que sont nos blogues.