J'entre ici comme au chalet. Faut enlever l'antigel dans la toilette, épousseter et enlever les fenêtres doubles pour les moustiquaires.
Ça sent le renfermé, cette petite mise au point nasale d'une saison qui vient de passer. Combien longue! Humide et laissant ces bestioles vampires derrière elle.
Bon, taratata, la première moitié de 2012 a été fuckall. La seconde pas pire pantoute si on considère qu'il faut travailler. Mais le petit cerveau là-dedans. Ben il s'est mis à imaginer et la main à écrire.
Je sais, j'ai promis que ce ce serait pour adulte. Mais la réadaptation se fait doucement, vous savez. J'étais tellement en colère, en criss, que je me suis tourné vers l'univers confortable. Un court roman pour ados et un roman pour les plus jeunes.
J'ai foncé en avant. Ça vaut mieux que se morfondre, quoique je me défoule sur FB.
Sauf que ce qui s'en vient est plus noir. Teinté de vengeance, ou plutôt d'un groupe qui veut donner une leçon à un autre. Comme quoi, l'écriture, ça libère. Comme quoi, je n'ai trouvé que l'écriture pour repartir la machine. Une bouée.
J'ai été chanceux, ou n'importe quoi d'autre. 13 jours après avoir quitté mon job que je n'avais plus, j'en avais une autre. Bien beau un nouveau milieu de travail, mais il fallait que je me réconforte.
J'ai écrit.
Et je vais continuer.
4 commentaires:
Hé! Mais c'est le Castor qui est de retour! V'là une bière virtuelle. C'est parfait après le ménage du chalet! ;)
Faudrait que tu perdes ta job tous les six mois. Tu écrirais en sacrament !!!
(humour, ici, on se comprend)
Merci pour la bière!
Et Richard, faudrait t'inventer! ( rire et ...)
Contente d'être passée dans le coin aujourd'hui et avoir pu prendre de tes nouvelles!
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