Presque quatre jours complets au Salon du livre de l’Abitibi-Témiscamingue. Pour la première fois, j’y vais le jeudi, la «journée des écoles». Pas de chance, récidive de la Commission scolaire : par équité, pas un bambin n’achète de livre. On mise plutôt sur un effet d’entraînement parental. Grogne sur le plateau, je vous le jure.
Un des salons où j’ai le moins dédicacé.
Mais c’est le salon où, je l’avoue, j’ai fait le plus d’activités et de belles rencontres. De quoi effectuer un plein d’énergie!
Drôle, parce qu’une semaine avant le salon, assis au patio, une idée d’album jeunesse se pointe et j’en fais l’esquisse dans un cahier. Et ce, tout juste quelques jours après avoir soumis une novella.
Aussi, lors d’une séance avec Yannick Comeau, une idée de roman pour les 8-12 ans se pointe. Je viens tout juste d’en terminer le plan général.
Moins de dédicaces? Bof, dans le fond…
Autre petite déception. J’avais trois livres en tête. Aucun sur les tablettes. Trop vite pour certains titres alors que pour un autre, Vents d’Ouest, il n’avait que des titres jeunesse. Bon, allons voir les Coups de tête. Deux titres seulement et je vous laisse deviner les deux auteurs…
Le livre pour adultes, vous allez me dire? Est-ce que je me lance? Drôle, parce qu’un collègue auteur de Val-d’Or, Stéphane Laroche, qui a signé des bouquins pour jeunes et ados, veut se lancer le même défi. Nous avions l’air de deux femmes qui décidaient de vivre leur grossesse en même temps.
On verra bien…
Ah oui… troisième dédicace dans certains de mes bouquins pour Lucille Bisson. Té folle…!
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