Dans le jargon des communications, tu appelles ça une «éclipse médiatique».
Ce que ça veut dire?
Tu ne publies pas ton meilleur billet à vie quand Karuna se dévoile… Même ton suprême génie ne surpassera pas l’envie incroyable d’au moins lui voir le bout du nez. Pire! Un nom complet, un site Oueb, une page couverture, une photo de l’auteure.
C’est qui Karuna? Vous l’avez votre éclipse.
Pis là… Voilà tu pas ma belle Lucille qui en remet. Pis pas à peu près.
Je peux m’enorgueillir, ici, de vous dire que je la connais en chair et en os. Que je la connais bien avant les blogues. Que sa nièce a été la blonde de mon beau fils, que sa fille s’est tenu avec mon autre beau fils… Que je la sais maintenant sensible devant un clavier et que j’aurais eu le même palmarès.
Muet de plaisir tu dis, Richard? Vous ne pouvez même pas imaginer ce que ça représente de figurer dans ce palmarès.
Lucille est une vraie. Comme je les aime. Je déteste utiliser le «je». Mais je l’aime Lucille.
Pour toutes sortes de raisons, je ne peux aller au bout de ma pensée, et ne vous en faites pas, la Volubile sait de quoi je parle.
Elle a repris au vol l’existence d’un journal indépendant, concurrent franc de vous devinez qui. Quatre employés, dont ma blonde et Sylvain, mon chum. Je vous laisse deviner comment j’étais émotionnellement impliqué dans l’aventure.
Elle ne s’est pas terminée comme tous on l’aurait voulu. Je dis on, mais câlisse que j’aurais voulu que ça marche. (Lucille ne soit pas tentée d’en rajouter.)
Et comme auteur… Qu’est-ce que vous faites quand vous avez une fan qui peut prétendre qu’elle a DEUX dédicaces dans son bouquin?. Non contente d’avoir la première, ma Lucille qui se pointe au lancement pour une seconde!
Mais Lucille, c’est ça. Une femme qui mord. Dans un sens ou dans l’autre. Vous l’avez vu faire? Entrer dans la blogosphère? Elle est aussi familière avec ce que j’appelle ma garde rapprochée en deux mois que moi en un an. C’est ça Lucille.
Si elle a décidé d’écrire, c’est que vous tiendrez un de ses bouquins dans vos mains.
Merci Lucille. Tu sais à qui écrire. Tu sais où on habite. Tu sais…
Merci d’être là.
6 commentaires:
Voilà... François Bélisle, tu m'as fait pleurer à matin. 6H57 et me voilà qui pleure comme un bébé.
Si je m'attendais à ça. Ouff... je sais pas quoi écrire, quoi répondre, sauf que oui, j'aurais tellement voulu que cette belle aventure du Journal fonctionne.
Avec des gens comme Sylvain, Élise et toi en background, on aurait fait des merveilles. Et j'haï d'autant plus tu-sais-qui, pour avoir détruit mon beau rêve. Mais comme on dit, tout se paye dans la vie ;o)
Et oui, je me targue d'être la seule fan des Moufettes à avoir deux dédicaces dans une même copie. Certaine qu'un jour ça va valoir de l'or, c'est sur !
Merci François d'être là ! (Cibole, je braille encore...) Je suis heureuse que la vie m'ait permise d'avoir dans mon entourage des personnes telles que toi. Et moi aussi je t'aime !
À la prochaine (Bon, là j'arrête d'écrire, je n'vois plus clair, snif, snif, snif)
xoxoxox
Que veux-tu : ta garde rapprochée doit avoir senti à quel point Lucille, c'est une bonne personne! ;)
À cause de ton histoire d'éclipse, j'ai maintenant la face rouge comme un homard. C'est mieux de partir...!
À part ça, le monde es-tu toute comme vous autres, dans votre coin? Entk, ça donne envie de déménager dans l'bout.
Faudrait que j'aille voir ça, cet été. ;)
Effectivement Lucille, tu as fait toute une entrée dans la bloguosphère. Je ne te savais pas journaliste... je suis heureuse de l'apprendre. Il faut croire qu'en tant qu'ex-journaliste convertie en autre chose, j'ai su m'entourée de semblable.
Je suis heureuse Lucille d'avoir fait ta connaissance virtuelle. Ton support est très apprécié.
Isabelle - comme je dis toujours, je suis secrétaire par obligation, journaliste de coeur et écrivain dans l'âme.
Aujourd'hui, je flotte devant tant de belles choses dites à mon endroit. Me semble que mon monde est un t'tit peu irréel ;o)
Moi aussi contente que tu fasses partie de mon monde virtuel.
Ah, tiens, bonjour tout le monde, et enchanté Lucille :).
Belle histoire.
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