Quand le Protocole Reston est sorti, je me suis rendu à ma librairie le jour même. La boîte de livraison n’était pas encore ouverte. Deux exemplaires.
J’ai répété l’exercice à Toi et moi, it’s complicated. Même chose. Même nombre.
Pour une troisième fois, tout juste à la fin de l’heure du dîner, j’y retourne aujourd’hui.
La pile de Contre Dieu me saute dans la face.
Oui, la pile.
Commentaire inutile à m’envoyer : lui, yé full populaire! (Pour paraphraser un célèbre blogueur.)
3 commentaires:
Ceux qui disent qu'il n'y a pas de part de chance dans cette histoire n'ont jamais réfléchi.
Une chance, une fois. Un roman qui pogne.
C'est tout ce qu'on demande au fonds. Ensuite, il y a aura des piles. Des romans visibles. Des ventes. Des chèques qui permettront de vivre. La sainte paix pour écrire.
Définitivement.
Mais ce n'est pas essentiel.
Thankks great blog
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